Un couvreur zingueur pour régler les défauts de zinguerie

Innombrables particuliers sont séduits par les avantages de l’utilisation de zinc que ce soit en toiture ou en revêtement d’étanchéité. Si l’on ne cite que sa résistance à la corrosion, aux lichens et même au temps, sa côte ultra étanche et esthétique fait l’objet de bien des admirations. Toutefois, comme tout autre matériel, le zinc comporte des défauts. C’est là que le couvreur zingueur intervient pour apporter des améliorations à ces points faibles présumés. Ces paragraphes qui suivent vous apportent des conseils sur l’utilisation de la zinguerie.

Assurer l’isolation et la ventilation du toit

La complication de sa pose s’agit sans doute du plus grand défaut de la toiture en zinc. Pour assurer son étanchéité et son isolation, l’intervention d’un couvreur zingueur comme celui dans le 92 est indispensable. Premièrement, car le procédé lui-même est compliqué et puis, l’isolation de la toiture en zinc se fait idéalement par l’extérieur.

En outre, la condensation sous la toiture en zinc est imminente si les lames d’air sont bloquées au sein de la sous-toiture. C’est pourquoi on privilégie la toiture froide ou couverture ventilée pour assurer la bonne circulation des courants d’air et d’éviter la condensation. Dans le cas contraire, ces larmes d’air forment des gouttelettes d’eaux entre le revêtement en zinc et l’isolation qui au fil du temps peuvent créer des fuites et détériorer les plaques de laine de roche. La ventilation de la toiture en zinc est donc d’une importance capitale.

Assurer la compatibilité entre les matériaux.

En raison de l’incompatibilité du zinc aux autres matériaux, l’artisan zingueur procède minutieusement à la mise en place de la toiture de faire en sorte de choisir des matériaux compatibles à la toiture. Avant de poser la toiture en zinc, il faut s’assurer que la charpente et les liteaux de couverture peuvent coexister avec les plaques en zinc. Pour une construction neuve, vous pouvez imposer à votre charpentier d’opter pour des bois de pin sylvestre ou de peuplier de composer votre ossature de bois pour soutenir la toiture en zinc.

Si vous optez pour une charpente industrielle, vous devez éviter les ossatures en acier carbone, en fer et tout autre acier non protégé avec les plaques de zinc. Par contre, l’usage de cuivre, de l’acier oxydable et l’acier galvanisé, d’aluminium prélaqué ainsi que le plomb est sans danger pour la zinguerie. Si telle est le cas de votre charpente, vous pouvez adopter le zinc pour remplacer le revêtement de toit. En revanche, oubliez le projet de toit en zinc si votre charpente est en bois de chêne ou du châtaignier.

Outre ces essences de bois et aciers incompatibles avec le zinc, le contact de la chaux, du ciment et la plâtre avec le zinc est aussi déconseillé. Aussi, avant d’installer les joints d’étanchéité en zinc comme par exemple l’hébergement de cheminée, assurez-vous que cette dernière ne contient pas les matériaux incompatibles. Et principalement assurez-vous que le toit soit aussi constitué d’un matériel compatible avec vos joints d’étanchéité en zinc.

Entretenir les zingueries

La zinguerie de toiture (les joints, couvre-joints et canaux d’évacuation d’eau de pluie) est connue pour sa durabilité mais qui est variante en fonction du milieu où elle est installée. En milieu urbain, elle fait face à divers agressions comme la pollution, les saletés et le vent sec. De plus les intempéries peuvent aggraver leur situation jusqu’à fragiliser sa structure. Ainsi il est important de l’entretenir régulièrement, et heureusement, la tâche est peu pénible. N’hésitez pas à s’adresser à un couvreur zingueur comme celui dans le 92 pour leur rénovation ou réparation en cas de besoin ; quant au nettoyage, un simple particulier comme vous peut s’en charger.